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OU SE RÊVENT LES ETOILES...
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16 août 2007

CARNET DE VACANCES – JEUDI 9 AOUT

GwennhaDuPremier jet de JOCELIN, RÊVE ENCORE ! (Titre provisoire bien sûr de l’album pour enfant) terminé. Près de 26 000 signes qui vont se voir tranchés dans le vif car tout cela est bien trop long. Mais en premier lieu il va falloir réécrire l’ensemble car entre un début ressemblant à un  conte, un milieu partant dans une discussion politico-sociétale (toutes proportions gardées) et une fin un peu trop résumée, je dois trouver un ton cohérent. Je ne suis pas mécontent de la tournure qu’a prise l’histoire. J’ai en effet tenu compte des remarques de l’illustrateur afin de donner un peu de punch à la fuite, et j’ai aussi modifié des éléments par rapport à mon synopsis de départ.

Eliminer, trancher, modifier, tordre, recréer, toujours le même schéma dans la composition de ces histoires finalement. Quelle qu’en soit la forme, le fond du travail reste le même. Il est certain que c’est bien plus excitant lorsqu’on est content déjà du premier jet. Et c’est le cas pour cette histoire. Mais cela n’est que mon humble avis.

Sinon, avant-dernier jour dans la Bretagne sous le soleil, contrairement aux prévisions météo mais aussi aux réalités du terrain hexagonal. Ah, je rigole ! Alors derniers plongeon en eau froide, dernières bronzettes, dernières pages pleines de sable, derniers marchés nocturnes artisanaux, derniers restaus, dernières crêpes, derniers mots tapés sur l’ordi sous l’avancée de bois face au petit terrain verdoyant au milieu duquel trône la voiture de location (je dois récupérer la mienne lundi prochain). Alors ça sent la fin, mais ce fut bon.

ENJOY !

LU

IMG_2994L’APPEL DU BARGE par Lalie Walker

Le Poulpe est de retour chez Baleine. Même format, même maquette, mêmes couvertures. L’ambiance de l’enquête reste fidèle à l’esprit décalé du personnage. Mais dans cette nouvelle aventure, l’octopode me paraît bien perturbé. Il a du mal à nous arracher le sourire, même narquois et noir, comme on les dégustait auparavant. Certes, j’avais abandonné le navire poulpien depuis quelques temps car les productions avaient tendance à voir leur niveau baisser. J’ai d’ailleurs dû louper quelques perles dans le lot. Mais je m’attendais à prendre plus de plaisir à retrouver le côté nonchalant de la bête aux grands bras. Là, j’ai un peu lutté pour rentrer dans l’histoire et celle-ci m’a paru largué en trois coups de cuillères à pots. Un défaut que j’avais déjà relevé par le passé. Alors je reste donc mi-figue, mi-raisin en refermant ces 180 pages. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir une envie de lire les autres romans de Lalie Walker car l’écriture est assez sympa. A voir donc.

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