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OU SE RÊVENT LES ETOILES...
OU SE RÊVENT LES ETOILES...
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9 janvier 2007

J’ADORE…

temphappy…quand on me complimente. Pas vous ? Menteurs !

Non, vraiment, recevoir le coup de fil d’une éditrice qui dit avoir pris un vrai panard à lire votre texte, à y avoir trouvé une psychologie profonde chez les personnages, les éléments justes pour être SF, et en plus un discours intéressant, hé bien je peux vous dire que ça gonfle la poitrine et ça fait voler. Ah, espoir ! Ben oui, dans ces moments-là tous les doutes s’envolent. Pour évidemment être immédiatement remplacés par d’autres. Mais comment vais-je pouvoir écrire un texte de cette force ? Suis-je capable de mieux faire ou en tout cas aussi bien ou alors n’était-ce qu’un coup de chance ? Peut-être devrais-je m’arrêter tout de suite, en pleine gloire ?

Bon, Ok, je déconne là. La gloire elle est encore loin, mais comme je l’ai déjà dit, elle est éphémère, alors plutôt y penser en se disant ne jamais vraiment l’atteindre, histoire de se donner des objectifs ad vitam aeternam.

Donc je continue. De plus, quand c’est chaud bouillant comme ça, il ne faut pas hésiter à s’y cramer les mains. Donc je fonce.

Par exemple, ma Diane s’est arrêtée de courir. Pas qu’elle ait abandonné la course mais plutôt qu’elle soit arrivée au bout. Du moins en séquencier. Maintenant, il va falloir attaquer le gros morceau : l’écriture. Oui, il faut l’avouer, dans l’écriture, le plus dur c’est d’écrire. Ca paraît bête comme ça, mais je parle du moment où l’on couche les mots sur le papier pour donner le sens, le vrai, le profond, à toute cette histoire qui a germé dans un esprit torturé. Utiliser son style, agencer les phrases, donner du caractère, de la vie à toutes ces péripéties. Bref, écrire…

Plus facile de perdre son temps sur son blog ! ;-)

Et la BD ? Hou là, là, la BD ! On y reviendra, non ?

ENJOY

LU

albums_marquisanaonLE MARQUIS D’ANAON de Vehlmann et Bonhomme

Encore in titre conseillé par CHAB qui me fait mieux comprendre ses exigences terribles. En tout cas, ces 3 albums (il y en a un quatrième paru je crois) m’ont mené aux côtés d’un jeune précepteur qui suite à une aventure malencontreuse (le premier album) va devenir malgré lui le sauveur des âmes en peine. Les histoires sont sombres et traitées avec un sérieux et une dose de fantastique qui forcent le respect. On prend un vrai plaisir à suivre le jeune Marquis dans les méandres de l’obscurantisme du 18ème siècle. Vraiment de la bonne BD.







VU

constantgardenerTHE CONSTANT GARDENER de Fernando Meirelles

Tiré d’un roman de John Le Carré, cette histoire de jardinier de haut niveau du gouvernement anglais qui se retrouve embringué dans les méandres de la diplomatie corrompue et qui prend conscience des machineries internationales est affolante de vérité. On a beau le savoir, surtout lorsqu’on s’intéresse aux thèses conspirationnistes de tous poils, il est toujours effrayant de voir jusqu’où peut aller l’envie de pourvoir et de profit, et surtout qu’une vie humaine n’a pas grande valeur, quand ce ne sont pas des milliers. Ce film magnifique est surtout une histoire d’amour et une aventure humaine bouleversante. Grande réussite.






ENTENDU

deadcandanceDEAD CAN DANCE : SPLEEN AND IDEAL

Datant de 1986, cet album est indémodable. Le groupe DCD est sans aucun doute le maître de la musique envoûtante, mélangeant des morceaux dérivés de la musique religieuse à des accents techno et des voix dégageant une force incroyable. Toujours étonnant et surprenant, DCD me mène par le bout du nez dans des contrées aux airs gothiques. Idéal pour écrire des textes fantastiques.

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